Type: Cancer du poumon non à petites cellules.
Merck-Serono MAJ Il y a 4 ans

Étude MS200647-0024 : étude de phase 1b-2 randomisée évaluant la sécurité et l’efficacité du M7824 associé à une chimiothérapie chez des patients ayant un cancer bronchique non à petites cellules de stade 4. Le cancer du poumon se développe à partir de cellules situées dans le poumon et qui se sont multipliées de manière anormale pour former une masse ou une tumeur. Le cancer du poumon non à petites cellules (CPNPC) est un type de cancer du poumon, qui se différencie du cancer du poumon à petites cellules (CPPC) par la manière dont les cellules tumorales apparaissent au microscope. Le cancer du poumon non à petites cellules est le type de cancer du poumon le plus fréquent, qui représente 85 à 90% de l’ensemble des cancers du poumon. Il y a plusieurs possibilités de traitement, selon le type et le stade du cancer : la chirurgie, la radiothérapie, la chimiothérapie, les thérapies ciblées, et l’immunothérapie, parmi lesquelles le durvalumab est actuellement indiqué en monothérapie dans le traitement de certains cancers bronchiques non à petites cellules. Les chimiothérapies classiques, telles que la carboplatine, le cisplatine, le nab-paclitaxel et la gemcitabine, sont des traitements généraux dit aussi systémiques car ils reposent sur l’administration de médicaments anticancéreux qui circulent et agissent dans l’ensemble du corps. Cela permet d’atteindre les cellules cancéreuses quelle que soit leur localisation, même si elles sont isolées et n’ont pas été détectées lors du diagnostic. Les médicaments de chimiothérapie détruisent les cellules cancéreuses en agissant sur leurs mécanismes de multiplication. Certaines cellules cancéreuses ont la capacité d’échapper aux défenses immunitaires qui protègent l’organisme. Les immunothérapies constituent un développement majeur pour les traitements anticancéreux, car elles sont capables de stimuler et de mobiliser le système immunitaire du patient contre la tumeur. Le M7824 est un traitement qui se lie à une protéine des cellules cancéreuses et les empêche ainsi d’échapper au système immunitaire. L’objectif de cette étude est d’évaluer la sécurité et l’efficacité du M7824 associé à une chimiothérapie chez des patients ayant un cancer bronchique non à petites cellules de stade 4. Les patients seront répartis en 4 groupes. Les patients du 1er groupe recevront du cisplatine ou du carboplatine toutes les 3 semaines jusqu’à 4 cures, associé à du pémétrexed et du M7824, toutes les 3 semaines jusqu’à 35 cures. Le traitement sera répété en l’absence de progression ou d’intolérance au traitement. Les patients du 2ème groupe recevront du carboplatine et du nab-paclitaxel 1 fois par semaine pendant 3 semaines, répété toutes les 3 semaines jusqu’à 4 cures, associé à du M7824, toutes les 3 semaines jusqu’à 35 cures. Le traitement sera répété en l’absence de progression ou d’intolérance au traitement. Les patients du 3ème groupe recevront du cisplatine ou du carboplatine et de la gemcitabine 1 fois par semaine pendant 2 semaines, répété toutes les 3 semaines jusqu’à 4 cures, associé à du M7824, toutes les 3 semaines jusqu’à 35 cures. Le traitement sera répété en l’absence de progression de la maladie ou d’intolérance au traitement. Les patients du 4ème groupe recevront du docétaxel, toutes les 3 semaines jusqu’à 4 cures associé à du M7824, toutes les 3 semaines jusqu’à 35 cures. Le traitement sera répété en l’absence de progression de la maladie ou d’intolérance au traitement. Les patients seront suivis pendant une durée maximale de 33 mois.

Essai ouvert aux inclusions
Essai clos aux inclusions

Étude EPITOP-01 : étude de phase 4 évaluant la sécurité et la qualité de vie des patients âgés ayant un mélanome ou un cancer du poumon non à petites cellules localement avancé ou métastatique traité par immunothérapie. Le mélanome est une tumeur maligne qui prend naissance dans les cellules de la peau appelées mélanocytes. Un changement de la couleur, de la taille ou de la forme d’un grain de beauté est souvent le premier signe de la présence d’un mélanome cutané. S’il est dépisté à un stade précoce et localisé à la peau le pronostic reste généralement bon. Le cancer du poumon non à petites cellules est le type de cancer du poumon le plus fréquent, il représente 85 à 90% de l’ensemble des cancers du poumon Il se développe à partir de cellules situées dans le poumon qui se sont multipliées de manière anormale pour former une tumeur. Le cancer du poumon non à petites cellules se différencie du cancer du poumon à petites cellules par la manière dont les cellules tumorales apparaissent au microscope. Le traitement de référence varie selon le type et le stade du cancer. On a recours soit à la chirurgie, la radiothérapie, la chimiothérapie, les thérapies ciblées. L’immunothérapie est la principale approche thérapeutique systémiques pour les patients ayant un mélanome non résécable ou métastatique ainsi que pour les patients ayant un cancer du poumon non à petites cellules. En effet certaines cellules cancéreuses ont la capacité d’échapper aux défenses immunitaires qui protègent l’organisme, à ce titre les immunothérapie constituent un développement majeur pour les traitements anticancéreux, car elles sont capables de stimuler et de mobiliser le système immunitaire du patient contre la tumeur. L’atézolizumab, le nivolumab et le pembrolizumab sont des anticorps monoclonaux anti-PD1 situé à la surface des lymphocytes T, agissant sur le système immunitaire et induisant une inhibition de la prolifération des cellules cancéreuses. Le blocage de PD-1 active les cellules les lymphocyte T et permet de tuer les cellules cancéreuses. L'ipilimumab est un anticorps monoclonal anti-CTLA-4. L'inhibition de ce récepteur présent sur les lymphocytes T a pour conséquence l'activation du lymphocyte T, la régression de certaines lésions avec une amélioration de la durée de rémission et s'avère meilleur que les anti-PD1, tant en termes de tolérance que de durée de survie sans aggravation. L’objectif de cette étude est d’évaluer la sécurité et la qualité de vie chez des patients âgés ayant un mélanome ou un cancer bronchique non à petites cellules localement avancé ou métastatique traité par immunothérapie. Les patients recevront. - Soit du nivolumab seul toutes les 2 semaines. - Soit du nivolumab toutes les 3 semaines associé à de l’ipilimumab. - Soit du pembrolizumab toutes les 3 semaines en 1ère et 2ème ligne de traitement. - Soit de l’atézolizumab toutes les 3 semaines. - Soit de l’ipilimumab toutes les 3 semaines jusqu’à 4 cures. Le traitement sera répété en l’absence de progression de la maladie ou d’intolérance au traitement. Les patients seront revus toutes les 6 semaines pour des évaluations gériatriques sans test cognitif, des questionnaires de la qualité de vie et un bilan radiologique sera réalisé toutes 12 semaines. Les patients seront suivis pendant une durée maximale de 48 mois après le début de l’étude.

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MedImmune LLC MAJ Il y a 4 ans

Étude COAST : étude de phase 2 randomisée comparant la sécurité et l’efficacité du durvalumab seul ou associé à des nouveaux agents thérapeutiques, chez des patients ayant un cancer du poumon non à petites cellules de stade 3 localement avancé et non résécable. Le cancer du poumon se développe à partir de cellules situées dans le poumon et qui se sont multipliées de manière anormale pour former une masse ou une tumeur. Le cancer du poumon non à petites cellules (CPNPC) est un type de cancer du poumon, qui se différencie du cancer du poumon à petites cellules (CPPC) par la manière dont les cellules tumorales apparaissent au microscope. Le cancer du poumon non à petites cellules est le type de cancer du poumon le plus fréquent, qui représente 85 à 90% de l’ensemble des cancers du poumon. Il y a plusieurs possibilités de traitement, selon le type et le stade du cancer : la chirurgie, la radiothérapie, la chimiothérapie, les thérapies ciblées, et l’immunothérapie, parmi lesquelles le durvalumab est actuellement indiqué en monothérapie dans le traitement de certains cancer bronchique non à petites cellules. Certaines cellules cancéreuses ont la capacité d’échapper aux défenses immunitaires qui protègent l’organisme. Les immunothérapies constituent un développement majeur pour les traitements anticancéreux, car elles sont capables de stimuler et de mobiliser le système immunitaire du patient contre la tumeur. Le durvalumab est un anticorps monoclonal qui se lie à une protéine des cellules cancéreuses et les empêche ainsi d’échapper au système immunitaire. Le monalizumab et oléclumab sont des anticorps monoclonaux qui se lie sélectivement à des protéines des cellules cancéreuses ce qui rétablit également la réponse anti-tumorale du système immunitaire. L’objectif de cette étude est de comparer la sécurité et l’efficacité du durvalumab seul ou associé à des nouveaux agents thérapeutiques chez des patients ayant un cancer du poumon non à petites cellules de stade 3 localement avancé et non résécable. Les patients seront répartis de façon aléatoire en 3 groupes. D’autres groupes pourront être ajoutés au cours de l’étude. Les patients du 1er groupe recevront du durvalumab, toutes les 4 semaines associé à du l’oléclumab, toutes les 2 semaines pendant 2 mois, puis toutes les 4 semaines. Le traitement sera répété jusqu’à 12 mois en l’absence de progression ou d’intolérance au traitement. Les patients du 2ème groupe recevront du durvalumab, toutes les 4 semaines associé à du monalizumab, toutes les 2 semaines. Le traitement sera répété jusqu’à 12 mois en l’absence de progression ou d’intolérance au traitement. Les patients du 3ème groupe recevront du durvalumab, toutes les 4 semaines. Le traitement sera répété jusqu’à 12 mois en l’absence de progression ou d’intolérance au traitement. Les patients seront revus toutes les 8 semaines la 1ère année, toutes les 12 semaines la 2ème année puis tous les 6 mois jusqu’à 60 mois pour des examens biologiques et biochimiques et pour le suivi de la maladie par scan. Les patients seront suivis pendant une durée maximale de 60 mois.

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Bristol Myers Squibb (BMS) MAJ Il y a 4 ans

Étude CA209-817 : étude de phase 3b/4 visant à évaluer la sécurité et l’efficacité d’une dose fixe de nivolumab en association avec l’ipilimumab chez des patients ayant un cancer du poumon non à petites cellules. [essai clos aux inclusions] Le cancer du poumon non à petites cellules est le type de cancer du poumon le plus fréquent, représentant 85 à 90 % de l’ensemble des cancers du poumon. Certaines cellules cancéreuses ont la capacité d’échapper aux défenses immunitaires qui protègent l’organisme. Les immunothérapies constituent un développement majeur pour les traitements anticancéreux car elles sont capables de stimuler et de mobiliser le système immunitaire du patient contre la tumeur. L’ipilimumab et le nivolumab sont des anticorps ciblant respectivement CTLA-4 et PD-1, susceptibles de réactiver le système immunitaire, qui pourraient avoir un effet synergique quand ils sont administrés simultanément. L’objectif de cette étude est d’évaluer la sécurité et l’efficacité d’une dose fixe de nivolumab en association avec l’ipilimumab chez des patients ayant un cancer du poumon non à petites cellules. Les patients seront répartis en 3 groupes selon qu’ils vont recevoir le traitement de l’étude en première intention (groupe A) ou en deuxième intention (groupe B) ou qu’ils présentent des conditions particuliers (cohorte A1 : métastases cérébrales asymptomatiques, patients insuffisants hépatiques ou rénaux ou positifs pour le VIH). Les patients recevront du nivolumab par voie intraveineuse (IV) toutes les 2 semaines associé à l’ipilimumab en IV toutes les 6 semaines et jusqu’à un maximum de 24 mois après la première dose, progression de la maladie ou intolérance au traitement. Les patients auront une visite 35 jours après la fin du traitement, puis une seconde 80 jours après la première visite, ensuite ils auront des visites supplémentaires tous les 3 mois.

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Pfizer MAJ Il y a 4 ans

Étude de phase 1, en escalade de dose, évaluant le Pf-04518600, en monothérapie ou en association avec Pf-05082566, chez des patients un cancer localement avancé ou métastatique. [essai clos aux inclusions] Il existe plusieurs stades de cancer : initialement localisé à un organe puis qui évolue vers un ou plusieurs autres organes, on parle alors de stade métastatique. Les traitements standards des cancers reposent le plus souvent sur l’utilisation de chimiothérapie (médicaments anticancéreux). De nouvelles stratégies de traitement sont apparues comme l’immunothérapie, qui consiste à administrer des anticorps qui vont stimuler des récepteurs de cellules et réactiver le système immunitaire pour qu’il puisse combattre le cancer. L’objectif de cette étude est d’évaluer la tolérance et l’efficacité d’une combinaison de 2 immunothérapies : le PF-05082566 et le PF-05082566 chez des patients ayant un cancer avancé ou métastatiques (plusieurs indications selon les groupes). L’étude sera réalisée en plusieurs parties. Les parties 1 ont pour but de déterminer la dose maximale tolérée des traitements à l’étude et les parties 2 seront constituées de groupes d’extension où les patients recevront les médicaments aux doses recommandées. Partie A1 et A2 : Les patients recevront du PF-04518600 en perfusion intraveineuse (IV) toutes les 2 semaines. Partie B1 : Les patients recevront du PF-04518600 en perfusion IV toutes les 2 semaines et du PF-05082566 en perfusion IV sur 4 semaines. Un schéma d’escalade de dose est appliqué pour le PF-05082566. Partie B2 : Les patients recevront du PF-04518600 en perfusion IV toutes les 2 semaines et du PF-05082566 en perfusion IV sur 4 semaines aux doses déterminées lors des parties A1 et B1. Les patients seront suivis selon les procédures habituelles du centre.

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Étude R2810-ONC-16113 : étude de phase 3 randomisée comparant l’efficacité du cémiplimab (REGN2810) en association avec une double chimiothérapie standard à base de platine et du cémiplimab en association avec de l’ipilimumab et une double chimiothérapie standard à base de platine avec celle d’une double chimiothérapie à base de platine standard seule chez des patients ayant un cancer du poumon non à petites cellules. Le cancer du poumon se développe à partir de cellules situées dans le poumon et qui se sont multipliées de manière anormale pour former une masse ou une tumeur. Le cancer du poumon non à petites cellules est le type de cancer du poumon le plus fréquent, représentant 85 à 90 % de l’ensemble des cancers du poumon. Les chimiothérapies à base de platine se lient notamment à l’ADN des cellules tumorales, bloquant ainsi leur division. Ce blocage induit une mort de la cellule. Le cémiplimab et l’ipilimumab sont des anticorps restaurant la fonction de défense des cellules immunitaires (lymphocytes T) qui est altérée dans de nombreux cancers. Ces lymphocytes T activés sont alors de nouveau capables de reconnaître et détruire les cellules cancéreuses. L’objectif de cette étude est de comparer l’efficacité du cémiplimab (REGN2810) associé à une chimiothérapie standard et du cémiplimab associé à de l’ipilimumab et à une chimiothérapie standard avec celle d’une chimiothérapie standard seule chez des patients ayant un cancer du poumon non à petites cellules. Les patients seront répartis de façon aléatoire en 3 groupes : Les patients du 1er groupe seront répartis en 2 sous-groupes selon le taux d’expression de PD-L1 dans les cellules tumorales. Tous les patients recevront une double chimiothérapie standard à base de platine. Les patients du 2ème groupe seront répartis en 2 sous-groupes selon le taux d’expression de PD-L1 dans les cellules tumorales. Tous les patients recevront du cémiplimab (REGN2810) associé à une double chimiothérapie standard à base de platine. Les patients du 3ème groupe seront répartis en 2 sous-groupes selon le taux d’expression de PD-L1 dans les cellules tumorales. Tous les patients recevront du cémiplimab (REGN2810) associé à de l’ipilimumab et à une double chimiothérapie standard à base de platine. Les patients seront suivis pendant 32 mois.

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Étude IONESCO : Étude de phase 2 évaluant l’efficacité d’une immunothérapie par le durvalumab, chez des patients ayant un cancer du poumon non à petites cellules de stade limité. Le cancer du poumon, 4ème cause de cancer en France, peut prendre deux formes différentes : « à petites cellules » ou « non à petites cellules », ce dernier étant le plus fréquent. Différents types de traitement sont proposés en fonction du stade de la maladie : intervention chirurgicale, radiothérapie et/ou traitements médicaux comme la chimiothérapie ou les nouvelles thérapies ciblées qui ont pour bénéfice de bloquer le mécanisme de croissance propre aux cellules cancéreuses. L’objectif de cette étude est d’évaluer l’intérêt d’un traitement d’immunothérapie néo-adjuvant, le durvalumab, administrée avant l’intervention chirurgicale, chez des patients ayant un cancer du poumon non à petites cellules de stade limité. Durant la période de sélection, des examens clinique, biologique et d’imagerie seront réalisés. Les patients recevront du durvalumab en perfusion intraveineuse tous les 15 jours pendant 1 mois. Avant chaque injection, les patients auront des prélèvements sanguins. L’intervention chirurgicale sera effectuée entre 2 jours et 2 semaines après la dernière injection de traitement. Un bilan de fin de traitement comprenant un examen clinique, biologique et d’imagerie sera effectué 4 semaines après l’intervention chirurgicale. Une autre recherche faisant le lien entre la recherche fondamentale (comprendre les mécanismes aboutissant au cancer) et la recherche clinique (valider les meilleures stratégies possibles de diagnostic et de traitement) sera aussi réalisée. Les tissus tumoraux seront prélevés au moment du diagnostic et au moment de l’intervention chirurgicale et des échantillons sanguins seront collectés au moment du bilan de sélection et à la 3ème injection du durvalumab. Les patients seront suivis à 6 mois et 1 an après l’intervention chirurgicale.

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